Les Éditions
JP HARTMANN
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La Bibliothèque
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des Machines
 


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Le personnage à la main posée sur le canal de mise à feu du canon géant
 
On remarque les fines ciselures de bronze sur l’extérieur du canon et les 2 lunettes de visée. L’une permettant de viser la lune, l’autre, plus puissante, l’aire d’atterrissage…
 
Le principe de ces passerelles mobiles a été honteusement repris et copié par la Nasa pour ses aires de lancement !
1 des 12 roues portantes de "La Machine" avec son boogie.
 
L’ensemble est en bronze.
 
La roue a un diamètre de12 cm, 
soit dans la réalité 429 cm)
4 des 12 personnages en étain peuplant la machine.
 
Ici 2 des 4 "Hardis Astronautes" en compagnie de leurs 2 enfants.
 
Pour des raisons élémentaires de sécurité les enfants ne sont pas admis dans la "Fusée-obus".
Vue par l’arrière montrant, sur l’arrière du canon, la manivelle permettant de charger la "Fusée-obus".
 
Les manivelles, au premier plan, permettent de monter l’ascenseur arrière et de déplacer horizontalement la passerelle  menant
à la mèche d’allumage.
Vu de l’escalier hélicoïdal et du grand télescope.
 
On distingue les mécanismes permettant de l'orienter dans toutes les directions.
Vue d’une des deux grandes roues motrices en bronze (diamètre 25 cm., soit à échelle réelle  8,25 mètres !).
 
Remarquez  le garde boue "Mississippi", le double embiellage et les pistons en cuivre rouge (de part et d’autre de chaque roue).
Messieurs "les Ingénieurs" devant un établi, une pièce (pompe Rolls Royce 1911) et quelques outils.
 
Le tout à l’échelle de la Machine !
Aux 4 coins du pont supérieur sont placés des canons "Manufrance" calibres 108mm.
 
Illustrés dans le catalogue de 1908 sous le titre de "Canons pour les yachts  châteaux et colonies".
 
La machine suscite nombre de convoitises imposant ce puissant moyen de défense.
La "Fusée-obus" (ailes repliées), est entièrement  introduite dans la bouche du canon.
 
Elle est décrochée de son chariot par un système de leviers , puis rentre dans le canon par un tirage magnétique actionné par une manivelle.
La "Fusée-obus" (ailes repliées), commence par être introduite dans la bouche du canon.
 
Elle est posée sur un chariot sur rail qui recule par un système de manivelles et de courroies.
La "Fusée-obus" avec ses ailes ouvertes.
Elles se déploieront à l'approche de la Lune.
 
La forte densité de l’atmosphère Lunaire permettra, grâce à ces ailes élégantes, un atterrissage en douceur de nos "Hardis Astronautes"
Vue du canon géant qui doit envoyer la "Fusée-obus" sur la Lune.
Le canon est entièrement en bronze rose ciselé et roulé. Il s’incline et se lève grâce à des manivelles placées de chaque côté.
 
Un système magnétique permet par un mécanisme de vis sans fin d’introduire la fusée dans le canon.
Juste devant la "Fusée-obus",
avant le départ, Monsieur l’ingénieur vérifie une dernière fois ses calculs.
 
Au tout premier plan on devine Monsieur le curé (en blanc avec un chapeau noir), dont  la fonction principale est de bénir et assurer la protection de l’engin et ses occupants !
12 personnages en étain peuplent les coursives. Ils sont les héros de cette étrange aventure, longuement décrite dans le livre joint à l’œuvre (voir la page du Livre de "La Machine").
 
Sur cette photo on distingue l’une des "Hardis Astronautes" sous son ombrelle, avant le départ.
Automate à 11 mouvements.
Se déplace automatiquement, en avant et en arrière sur un rail de 1m 70 de longueur.
 
Pastiche de l'oeuvre de Jules Verne (de la Terre à la Lune), elle est sensée lancer, à l’aide de son canon géant, une "Fusée-obus" qui emportera dans l’espace 4 "Hardis Astronautes"...
Mouvements actionnés par des mécanismes manuels :
 
Pivotement du télescope en 3 D.
 
Déplacement horizontal de la fusée et déploiement
de ses ailes.
 
Introduction de la fusée-obus dans le canon.
Levée du canon. 
 
Montée et descente de l'ascenseur arrière.
 
Déplacement horizontal de la passerelle destiné à allumer la mèche.
 
Décrochage draisine de maintenance et mouvements des bras en roulant. 
 


Mouvement électrique
et automatique (220 volts) :
 
Aller et retour sur la voie
longue de 170 centimètres.
 
Mouvement de l'embiellage
des 4 pistons des 2 roues motrices.  
 
Eclairage par 48 lumières
de 12 v.,
réglables par variateur.
Jean-Pierre HARTMANN.      "La Machine" ou "de la Terre à la Lune"
Réalisé entièrement
en Bronze et Laiton,
 
Longueur : 144 cm.
Hauteur canon levé : 55 cm.
Largeur hors tout  : 28 cm.
 
Ecartement des rails : 18,4  cm.
Longueur rails 170 cm. 
 
Poids total  : 47  Kg. 
 
Calibre du canon : 9,65  cm.
 
Avec l'oeuvre est joint 12 personnages en étain, héros du récit  livré avec "la Machine" :
 
Un luxeux livre de 80 page,illustré par JP Hartmann, réalisé en pièce unique, est livré avec de l'oeuvre.
 
Il en décrit l'histoire réelle et utopique, la découverte, le fonctionnement et la maintenance.
 
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